Présentation Ezio [DC rexxar]

IRP:

Ezio

Nom du personnage:

Ezio «El maestro»

Âge du personnage:

25 ans

Race du personnage:

Hommes

Histoire:

«Famille, justice, honneur telles sont les valeurs guidant mon épée. Cette histoire est écrite en lettre de sang et c'est dans les ténèbres que je frappe.»

Remontons le temps, nous voici 25 ans plus tôt, il fait nuit, c'est la pleine lune, cette dernière éclaire une grande ville, capitale du Surda du nom d'Aberon, un homme passe en courant dans la rue, en passant devant une grande et prestigieuse maison d'où on entend des cris de femme s'échapper d'une des fenêtres de l'étage, il continue sa route. Dans la dite maison où on entend les cris, des sages femmes s'affairent autour d'un lit où est allongée une femme, et debout à côté d'elle un homme, assez grand, de long cheveux noirs aussi noirs que ses yeux, portant une cicatrice sur la joue, il dégage de cet homme une aura qui force le respect, cet homme a un grand sourire sur les lèvres, sa femme étant en train de lui donner un autre fils, puis il est tiré des ses pensées par des pleurs d'enfant, son dernier fils venait de naitre. Les sages femmes lui tendirent le nourrisson et lui demandèrent comment il allait l'appeler, ce dernier le tendit devant lui l'air triomphant et dit au sage femme:

«Ezio, il s'appellera Ezio»

Les sages femmes laissèrent alors les parents seuls une fois qu'elles se furent assurées que la mère d'Ezio allait bien et ne montrait pas de «séquelles». Giovanni, tel était le nom du père d'Ezio, se tourna vers sa femme et lui tendit le bébé, cette dernière souriait à pleine dent. Elle prit le bébé et murmura comme si elle parlait au bébé qui avait arrêté de pleurer.

«Ezio, je sens que ta vie sera heureuse, tu grandiras dans le bonheur et je sens aussi que tu auras une grande carrière»

Elle était loin de se douter ce qui allait arriver à leur famille, mais cela personne ne pouvait le prédire, la mort frappe souvent là où on s'attend le moins...

Parlons un peu des parents de notre cher Ezio, Giovanni son père un riche banquier s'occupant des économies de beaucoup de nobles et de personnages importants pour le Surda, il jouissait d'une place que beaucoup lui enviait. Maria sa mère était une grande couturière, ses vêtements étaient connus dans tout le Surda et se vendaient des prix d'ors, les femmes du royaume rêvant toutes d'avoir la dernière robe créée par Maria. Ainsi la famille était de bonne situation, solide financièrement, ils pouvaient offrir à leurs fils tout ce qu'ils voulaient, les laissant jouir d'une liberté qui rendaient jaloux les autres garçons d'Aberon. Le frère d'Ezio, Fréderico, travaillait dans la banque familiale cependant il ne faisait rien de ses journées, il les passait à escalader les murs et à se balader sur les toits son père trouvait que cela était une sale manie, manie que son jeune frère Ezio ne tarda pas à avoir à son tour au grand dam de ses parents...

15 ans ce sont passés depuis la naissance d'Ezio, le nourrisson était devenu un beau jeune homme, un coureur de jupon qui plus est, il rendait souvent visite aux filles le soir dans leurs chambres, passant par les toits pour éviter les parents, il acquit rapidement une agilité remarquable, et ces «exercices acrobatiques» lui développèrent les muscles, le rendant plus fort et plus agile qu'il ne l'était déjà, son frère Frederico s'était calmé et travaillé sérieusement dans la banque, suite au menace de son père qui voulait le renvoyer de la banque et du domicile familial si il continuait. Ezio se retrouva alors seul durant ses journées, le reste de sa famille travaillant toute la journée, il passait donc ses journées sur les toits à se balader de toits en toits ou alors à s'entraîner au maniement des armes avec Mario, un ami à lui, il devint très vite un excellent bretteur, un jour alors qu'il était perché en haut d'un clocher d'église et qu'il regardait l'horizon pendant le soleil couchant, il se questionna sur son avenir il ne voulait pas travailler dans la banque comme son frère ou son père, et voulait trouvait quelque chose où il y avait de «l'action», où il pouvait mettre ses talents en escalade et de bretteur en valeur:

«Soldat? Non, je ne pourrais pas me montrer efficace en restant sur la terre ferme, il me faut un travail où je peux me battre, et me mettre sur les toits.»

Il pensait à voix haute quand il fut tirer de ses pensées par une voix familière derrière lui.

«Et que dirais tu de faire assassin jeune homme?»

Il se retourna en sursaut, surpris que quelqu'un d'autre que lui ou son frère arrive à grimper en haut du clocher, il vit alors son ami Mario, il n'était pas habillé comme Ezio le voyait d'habitude, là il portait une légère armure de cuir, il avait une capuche sur le visage et il portait une cape sur le côté. Ezio le regarda attentivement avant de prendre la parole:

«Mario, que fais tu la? Comment as tu réussi a monter ici? Et que sais tu des assassins? Pas plus que moi je suis sûr, personne ne les connais ils sont trop bien cachés, ils savent se dissimuler dans la foule afin de passer inaperçu, et ce n'est probablement qu'une histoire populaire et tu le sais»

Mario éclata de rire devant la naïveté de son jeune ami, il se calma et reprit sa respiration avant de répondre à Ezio:

«Comme tu l'as dit ils sont trop bien cachés, d'ailleurs ils se dissimulent tellement bien que même leurs plus proches amis n'arrivent pas à savoir leurs vrai nature, serais tu aveugle Ezio? Ne comprends tu pas? Si je te parle des assassins c'est parce qu'ils existent vois tu, et si je sais qu'ils existent c'est parce que, j'en suis un»

Il se retourna et embrassa la ville des bras

«Ils sont agiles et rapides, capables de se déplacer sur les toits et de passer inaperçu, ils peuvent se dissimuler dans la foule et disparaître à souhait, mais surtout ils ont un talent de bretteur hors-pairs, vois tu Ezio tu as certains de ses talents, comme l'agilité et le maniement des armes, tu as de quoi devenir un assassin, il te manque juste de l'entraînement et de la technique, et cela je peux te les donner, qu'en dis tu mon jeune ami?»

Ezio regarda son ami, il avait du mal à croire ses paroles pourtant plus il réfléchissait, plus cela était probable, les longues absences de son ami, son talent de bretteur, bien qu'Ezio l'ai surpassé à force d'entraînement, et surtout sa tenue ce soir et le fait qu'il ait réussi à grimper en haut du clocher. Il se retourna lui aussi vers la ville, se plaçant a côté de son ami:

«Oui, cela me plairait, mais comment devenir assassin? Le talent ne compte pas totalement, il faut aussi être connu pour décrocher des contrats non?»

Mario tourna sa tête et regarda son ami avant de sourire et de lui répondre:

«Les contrats tu les auras crois moi, pour l'instant ce qui compte c'est ton entraînement, tu ne pourras te dire assassin que quand tu maîtriseras certains point, l'art de disparaître entre autre, nous commencerons demain je t'attendrais ici, j'ai besoin de repos pour le moment, bonne nuit mon ami»

Il commença à descendre, puis une fois qu'il avait perdu de la hauteur il lâcha prise et sauta avant de retomber dans la rivière. Ezio l'imita et une fois rentré chez lui il se changea et alla se coucher impatient d'être le lendemain il eut du mal à s'endormir.
Le lendemain Ezio se dépêcha de s'habiller et fila vers l'église où il avait parlé à Mario la veille, ce dernier l'attendait, il avait dans les mains un brassard en cuir, une fois qu'Ezio fut à sa portée, il le salua et lui tendit le brassard:

«Enfile ça, aujourd'hui tu vas apprendre à te servir de la lame secrète»

Ezio dévisagea son ami:

«La lame secrète? Qu'est ce que c'est?»

Mario le regarda tout en levant son bras à la vue d'Ezio, il avait un brassard comme celui qu'il venait de donner à Ezio, puis d'un geste du doigt une lame sortit du brassard. Ezio regarda son brassard quand il eut finit de l'enfiler à son bras et il se tourna vers Mario:

«Comment cela fonctionne t-il?»

Mario lui montra un anneau qui était sur le brassard, il le prit et le passa à un doigt d'Ezio:

«Tu tends ton doigt la lame sort, tu le retends et elle rentre, rien de plus simple»

Ezio regarda le brassard perplexe et fit ce que Mario lui disait, il sursauta quand la lame sortit du brassard. Son ami éclata de rire en le voyant sursauté. Puis il s'avanca d'un pas vif vers Ezio et tendit le bras avec la lame sorti pour lui asséner un coup, Ezio eu juste le temps de tomber sur le dos et de dire:

«Tu es fou? A quoi tu joues?»

Mario lui tendit la main et l'aida à se relever et lui dit une fois qu'il était sur ses deux jambes:

«Je ne joue pas Ezio, il faut que tu sois tout le temps aux aguets, tout le temps prêts, tes adversaires ne te laisseront pas de répits, allez on continue l’entraînement»

Il tenta de nouveau d'attaquer Ezio, mais celui ci c'était préparé et esquiva d'un pas sur la gauche avant d'assener un coup de poing dans le visage de Mario, celui ci dit en se tenant le nez

«Bien très bien, tu commences à comprendre, tu apprends vite mon ami et c'est une bonne chose»

Il continuèrent l’entraînement toute la journée, le soir les deux hommes étaient en sueur et avait mal partout, mais Ezio était ravi de sa journée...

Ezio a maintenant 18 ans, cela fait quelque mois qu'il est réellement devenu un assassin, il avait fini sa formation avec Mario il y a 1 an, mais il lui manquait certaines notions que lui seul pouvait apprendre. Il avait alors réussit à avoir un contrat par le biais de Mario, remonter une organisation qui faisaient payer les marchands d'Aberon pour leur sécurité et que les gardes n'arrivaient pas à arrêter, quelques marchands c'étaient alors rassemblés pour pouvoir payer l'assassin. Le début du contrat fut assez compliqué, il fallait trouver le prochain marchand où les «mafieux» allait envoyer des hommes pour les extorquer, à force de soudoyer et de menacer certains marchands, il réussit à trouver la prochaine cible, sans prévenir le marchand il se plaça sur le toit de la maison en face de l'échoppe, les malfaiteurs attendant souvent la nuit pour passer à l'action, il attendit alors que les sous-fifres se montrent. Ils arrivèrent à la tombée de la nuit, Ezio distingua quatre silhouettes encapuchonnées, il mit alors sa capuche et s'assura que son brassard avec la lame secrète était bien attaché, puis il descendit du toit en prenant appuie au appuie de fenêtre, une fois sur le sol il se dirigea vers les quatre hommes qui attendait devant le magasin, ils discutaient de la meilleure façon d'intimider le marchand. Ezio s'approcha discrètement d'eux profitant de l'ombre d'un mur pour s'y dissimuler tout en avançant, il vit alors que les hommes étaient armés, il tendit son doigt et la lame secrète sortit de son brassard, il s'approcha de celui qui était le plus proche de sa position et lui planta la lame dans l'arrière du cou, les trois autres ne réagirent pas assez vite, il trancha la gorge de celui qui était juste à côté de lui avant de faire rentrer la lame dans le brassard et de dégainer son épée prêt à affronter les deux autres, il devait en laisser au moins un en vie, le premier qui tenta de l'attaquait été un gaucher il tendit son bras vers Ezio qui esquiva vers sa droite, le reste du corps de son assaillant étant totalement vulnérable il planta son épée dans le torse de son adversaire qui s'écroula emportant l'épée avec lui, il sortit sa dague à toute vitesse n'ayant pas le temps de récupérer l'épée, il attendit se mettant face à son dernier adversaire qui tenta de l'attaquer à la tête mettant ses deux bras en l'air en essayant de trancher le crâne d'Ezio qui lâcha sa dague et bloqua le coup en prenant les deux mains qui tenaient l'épée et en forçant pour empêcher la lame meurtrière de descendre il donna un coup de pied dans le genou droit de son adversaire avant que celui ci ne pense à se dégager; le genou craqua et il s'affaissa lâchant l'épée pour amortir sa chute in extremis. Ezio ramassa sa dague et la mit sous le cou de l'homme qui gémissait de douleur:

«Où se cache tes patrons? Parle et peut-être auras tu la vie sauve»

L'homme regarda Ezio le regard suppliant, avant de dire:

«Ils sont dans une ancienne taverne vers la sortie Ouest d'Aberon, ne me tuez pas mon seigneur pitié»

Ezio regarda le malheureux un sourire aux lèvres:

«Pitié? As tu eu de la pitié pour tout les commerçants que tu as tabassés et tués tout ca parce qu'il ne payait pas? Non, tu n'as pas eu de pitié pour eux alors pourquoi en aurais je pour toi? C'est un juste retour des choses ceux qui tue sans conscience mérite de mourir sans conscience.»

Après ses mots il égorgea l'homme qui garda sur ses yeux et son visage une expression de terreur immense, ainsi donc les extorqueurs se cachaient dans une taverne Ezio s'y rendit le lendemain après midi, en approchant du bâtiment il se rendit compte que l'entrée était très bien gardée, il y avait une dizaine de gardes lourdement armées, et probablement autant à l'intérieur. Il renonça donc à rentrér par devant, le bâtiment était dans un piteux état, il remarqua alors une église à quelques mètres seulement de l'ancienne taverne, il monta au clocher et regarda le bâtiment du haut. Il venait de trouver un plan, il allait rentrer par l'arrière le soir, il n'y avait que deux gardes, une fois à l'intérieur il ne devrait pas y avoir trop de gardes, ils seront tous occuper à dormir. Il attendit alors dans le clocher que la nuit commença à tomber, puis il descendit de son clocher et il grimpa sur le toit de la taverne, il se mit juste au dessus des deux gardes et sortit ses deux lames secrètes, puis il prit son élan et sauta sur les deux gardes visant leurs nuques avec les lames, celui de gauche la reçut dans le crâne et elle transperça l'œil droit, il toucha le deuxième à la carotide, scellant son sort. Ezio se releva et rentra dans la taverne discrètement, laissant le garde se vider de son sang et mourir à petit feu. Il neutralisa le garde dans la pièce principale en lui plantant sa dague dans le crâne, il le rattrapa alors qu'il s'écroulait et le posa délicatement sur le sol afin de faire le moins de bruit possible, il alla alors dans la pièce suivante et neutralisa le garde qui était assis devant une table en lui lançant un couteau dans la nuque, il alla récupérer son couteau et vérifia qu'il n'y avait plus aucun garde au rez de chaussé. Il monta alors vers la seule pièce d'où sortait de la lumière, la porte était ouverte et aucun garde n'était dans le couloir, il se plaqua contre un mur à côté de la porte il voulait savoir pourquoi ils faisaient payer les marchands et combien ils étaient, il distingua trois voix différentes, l'un d'eux parlait plus fort que les deux autres, ils semblaient irrités qu'Ezio ait tués leurs hommes la nuit dernière:

«...quatre hommes, nous ne pouvons le laisser faire, il va ruiner nos plans. Que dira le seigneur Galbatorix si nous échouons?»

Ezio réagit au quart de tour, ils ne faisaient pas ca que pour l'argent, ils voulaient déstabiliser le Surda financièrement, ou pire, et quoi de mieux pour cela de s'en prendre au marchand? Il devait réagir et vite, il sortit deux couteaux de lancer de sa ceinture et passa sa tête discrètement dans l'embrasure de la porte il prit soin de bien retenir les places des trois hommes, puis il sortit de sa cachette d'un mouvement vif et lança les couteaux, qui touchèrent leurs cibles, ils s'écroulèrent, le dernier étant à mi temps caché depuis la porte Ezio n'aurait pas pu le toucher. Le dernier survivant se leva et se précipita vers la porte, Ezio n'eut pas le temps de sortir son épée qu'il se faisait violemment pousser et tomber ne distinguant que l'ombre de l'homme qui s'enfuyait. Ezio se releva alors à toute vitesse et se lança à sa poursuite à toute jambes. Quand il passa le seuil de la porte de la taverne il vit le fuyard tourner au coin d'une rue sur un cheval, il renonça alors à le suivre et rentra dans la taverne, les gardes ayant fuit avec leurs chefs, il revint alors dans la pièce où il avait assassiné les deux autres chefs et regarda les documents poser sur la table, des lettres portaient le sceau de Galbatorix, il était mention d'un complot et d'un groupe d'assassin à la solde de Galbatorix opérant dans le Surda du nom de «main noire», il prit les documents et repartit de la taverne avant que des gardes ne débarquent et ne l'emmènent en prison. Il devait montrer ça à Mario, lui il serait quoi faire, mais pour l'instant il devait aller se reposer. Le lendemain il trouva Mario dans une rue en train de parler avec un homme, il lui donna une lettre et l'homme partit en courant, sortant du champ de vision d'Ezio. Mario se retourna et s'approcha d'Ezio en le voyant, il lui donna une claque amicale sur l'épaule:

«Ezio mon ami que fais tu là de bon matin? Des bonnes nouvelles j'espère?»

Ezio regarda autour de lui avant de dire à voix basse:

«Non de mauvaises nouvelles, très mauvaises, on peut se voir en privé?»

Mario eut l'air inquiet et accepta, il l'emmena au milieu des champs en dehors d'Aberon, il regarda autour de lui si il n'y avait pas d'oreilles indiscrètes:

«Vas y tu peux parler»

Ezio sortit les papiers qu'il avait pris la veille au soir dans la taverne et raconta rapidement ce qu'il s'était passé:

«Il semble évident qu'un complot contre le roi Orrin se prépare et que cette «main noire» y est forcément liée, je crois que nous devrions prévenir le roi tout cela nous dépasse.»

Mario examina les papiers avant de dire à son ami:

«Non le roi ne saurait nous croire, il exigerait de savoir comment nous avons eu ses papiers, et tant que nous n'avons pas de nom précis à lui donner nous ne pouvons rien faire d'officiel. Par contre nous pouvons essayer de trouver et de démanteler cette main noire, si nous trouvons leurs chefs, nous trouverons forcement celui qui t'as échappé hier soir»

Un homme arriva en courant vers eux, Ezio le reconnu c'était un ami de sa famille, il lui dit quand celui ci s'arrêta pour reprendre son souffle:

«Que fais tu la? Tu m'as suivi c'est ca?»

Il allait frapper le jeune homme quand Mario l'en empêcha et intima au nouveau venu de prendre la parole, ce dernier s'exécuta:

«Pardonnez moi sire Ezio, je ne vous ai pas suivi c'est un ami à moi qui m'a dit vous avoir vu dans les champs, je suis venu vous avertir, les soldats d'Orrin sont venu à la villa et ont emporté toute votre famille il y avait un général avec eux, ils te cherchaient aussi, ils disent que vous allez être juger pour trahison envers le roi Orrin»

Ezio ne comprenait pas, Mario remercia le messager et lui dit de les laisser seuls, une fois l'homme hors de portée de leurs vues Mario se retourna vers Ezio:

«Tout s'explique, l'homme qui t'as échappé hier, à du voir ton visage en te bousculant, et il va de soi que cet homme est le général qui vient de mettre ta famille aux arrêts»

Ezio tenta de partir pour aller les libérer mais Mario le retint par le bras:

«Es tu idiot Ezio? Qu'est ce que tu crois qu'ils attendent de toi? Ils vont poster des hommes à la prison et chez toi, ils savent que tu vas vouloir revenir, ne te jette pas dans la gueule du loup, tu ne peux plus rien pour eux et tu le sais, alors fait en sorte qu'ils ne meurent pas en vain»

Mario lâcha Ezio qui renonça à partir vers la ville écoutant les paroles de Mario renonçant à tout espoir de les sauver. Il pleura, il ne croyait pas que ça pouvait finir comme ça, après tout lui était encore en vie et il allait se venger, ce général devrait payer....

Nous voici 24 ans après l'accouchement de Maria, beaucoup de choses ont changées, des choses qui n'auraient pas du changées. La famille d'Ezio a été pendu pour trahison, il a juré de se venger du général traître un homme du nom de Jalal, depuis ce temps il le traque. Retrouvons notre cher Ezio, en haut d'un clocher admirant le coucher de soleil, il pense à tout ce qu'il fait depuis la mort de sa famille, il murmure pour lui même:

«Je n'ai pas choisi cette voie, on l'a choisie pour moi.Je pensais qu'il serait facile de se venger, pendant des années j'ai vécu dans l'ombre, puni de mort ceux qui le méritaient et disparu sans laisser de trace, j'ignore qui est à l'origine de ce complot, mais je sais qui va y mettre un terme»

Après ces mots il sauta du haut du clocher, pour retomber dans l'eau, il remonta sur le sol et se dirigea vers le quartier militaire, il avait pris sa décision il allait frapper, Félipe devait mourir pour ses actes, qu'il ait une raison ou pas pour le roi, peut lui importé. Il allait faire ce qu'il savait faire de mieux, tuer…. et disparaître...

Alors qu'il s'approchait du quartier militaire, Ezio fut arrêter par son ami Mario, il semblait inquiet, il prit le bras d'Ezio et l'emmena dans une ruelle, il s'assura qu'il n'y avait personne d'autre autour d'eux avant de prendre la parole:

«Ezio mon ami, le temps nous est compté Jalal le général félon à engager un assassin pour se débarrasser d'Orrin; tu dois l'en empêcher»

Ezio fut surpris, les assassins de cette ville étaient tous des amis d'Ezio et de Mario, ils n'auraient pas accepté ce genre de contrat:

«Mais, ne peux tu pas tenter de le raisonner après tout tu connais tous les assassins d'Aberon et du Surda, il t'écoutera sûrement?»

Mario fit non de la tête, il semblait nerveux et inquiet, Ezio savait que quelque chose n'allait pas chez son ami:

Non, Ezio je ne peux pas cet assassin est un des hommes de la main noire, un des serviteurs de Galbatorix, tu dois à tout prix l'arrêter il paraît que c'est le meilleur assassin de tout l'empire.»

Description mentale:

Les gens qui connaissent un peu Ezio le qualifie comme quelqu'un de noir et mauvais, il ne parle que rarement et cache toujours son visage, de plus il prends plaisir à tuer ses cibles, ce que beaucoup de monde trouve répugnant. Il a toujours adorer les combats et les armes en générales, ce qui fait de lui un adversaire redoutable, ne perdant jamais son sang-froid il est capable de venir a bout des ennemis les plus coriaces. Il voue une haine profonde envers la population et les gens en général, et préfère la solitude, même si il doit constamment aller dans les villes pour accomplir ses contrats. Même si par le passé il était un jeune homme heureux, un joyeux luron, un dragueur invétéré, tout cela avait disparu, ne laissant que haine et vengeance à la place.

Description physique:

Il serait impossible de décrire correctement Ezio, son visage étant toujours caché par une capuche ou autre, on pourrait seulement le décrire physiquement, le présentant comme un homme d'environ 1m85, assez musclé (dû au pratique régulière de la lame!) et extrêmement agile, cette agilité fut acquise durant sa jeunesse qu'il passait à voyager sur les toits, il est maintenant capable de grimper n'importe où pour espionner ou repérer ses cibles, cette agilité lui vaut aussi d'être un combattant hors pair, un allié de choix mais un ennemi redoutable. Peu de gens ne pourraient dire pourquoi, mais cet homme sombre et mystérieux dégage une aura qui force le respect et qui en intimide plus d'un. Ses yeux perçants aussi noirs que ses cheveux lui donne une expression quelque peu farouche, cet homme a tout pour apeuer ces semblables.

Camp:

Neutre:assassin

HRP:

Voir Rexxar pour cette partie.

Je réserve ce post pour la suite de l'histoire.

J'ai supprimé les postes qu'il y avait après pour laisser à Ezio la place de finir son histoire

Sad, si tu veux remettre ce que tu avais mis, c'est comme tu veux.

Ezio, très beau début d'histoire ^^

Bin non, c'est pas grave ^^

Super l'histoire Wink

Sinon juste une chose pour ma part, les noms italiens comme Giovanni, je pense pas trop que ça existe (en Alagaësia) xD

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